Travail sécuritaire NB a lancé une consultation publique afin d’obtenir des commentaires pour déterminer s’il devrait poursuivre une modification législative en vertu de la Loi sur les accidents du travail qui prévoirait une disposition de présomption pour les agents de correction qui reçoivent un diagnostic d’état de stress post-traumatique à la suite d’un incident lié au travail.
Les agents de correction font souvent face à de la violence, à des conflits et à des incidents troublants dans les établissements correctionnels. De plus en plus de renseignements sont disponibles sur les effets du travail dans le secteur de la sécurité publique sur la santé mentale des employés, y compris les agents de correction.
La modification législative ferait en sorte que le diagnostic confirmé d’état de stress post-traumatique chez un agent de correction soit présumé être lié à son travail jusqu’à preuve du contraire.
Au Nouveau-Brunswick, une disposition de présomption s’applique déjà aux agents de police, aux pompiers et aux travailleurs paramédicaux en vertu de la définition d’intervenant d’urgence.
La consultation permettra d’obtenir votre avis sur l’ajout des agents de correction à la définition d’« intervenant d’urgence ». Il se peut qu’on examine la possibilité d’apporter d’autres modifications à la définition d’« intervenant d’urgence » à l’avenir.
Veuillez remplir le questionnaire pour nous faire part de votre avis sur la modification législative proposée. Nous vous invitons également à transmettre le message à vos réseaux.
Plus d'info: travailsecuritairenb.ca