Des données récentes indiquent que de nombreux travailleurs sont exposés à des grandes concentrations de particules nanométriques (PN) émises non intentionnellement, comme les soudeurs ou les travailleurs du secteur des alumineries. Des lacunes demeurent dans plusieurs secteurs quant aux méthodes et aux stratégies d’évaluation et de maîtrise des expositions à ces nanoparticules.
Cette recherche vise à dresser un premier portrait d’expositions professionnelles aux PN émises non intentionnellement dans d’autres milieux de travail québécois, en présentant une caractérisation précise de ces particules. De plus, elle permettra de classer les postes de travail plus à risque.
Les chercheurs compileront les données recueillies au terme de 36 jours d’échantillonnage, constituant ainsi une importante et unique base de données qui permettra de mieux cerner les risques pour la santé et la sécurité des travailleurs exposés à ces particules.