rationale:
Les déchirures du bourrelet glénoïdien de l’épaule causent beaucoup de douleur et de dysfonctionnement. Ces déchirures sont souvent réparées par arthroscopie si le traitement non opératoire échoue. Nous savons que la plupart des patients éprouvent moins de douleur et de dysfonction après la chirurgie, mais nous ne savons pas si le bourrelet glénoïdien guérit vraiment.
Le but de cette étude est d’examiner les images de l’épaule après l’opération et de voir si les radiologues qui les lisent sont relativement cohérents dans la description de la guérison.
objectifs:
#NAME?
résultats prévus:
Beaucoup de travailleurs doivent s’absenter du travail pour tenter de reposer leur épaule, de diminuer leurs symptômes et de « guérir » la déchirure. Beaucoup n’arrivent cependant pas à dissiper entièrement la douleur par le traitement non opératoire et auront finalement recours à la chirurgie, entraînant encore plus de perte de temps de travail.
Après l’opération, le travailleur doit être évalué pour savoir s’il peut reprendre le travail. Comprendre les résultats anatomiques de l’opération, y compris la fiabilité de la lecture des images par les radiologues, constitue une partie essentielle du processus de retour au travail. Savoir s’il y a guérison ou pas pourrait avoir un effet sensible sur la CAT pour ce qui est du cheminement de la réclamation du travailleur. L’aptitude des radiologues à interpréter les images doit être comprise pour que l’examinateur puisse évaluer avec précision l’état du travailleur et comprendre s’il y a eu guérison ou non.
chercheurs:
Ian Lo (University of Calgary)